Fausse énurésie à l'armée

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il y a 7 ans

Fausse énurésie à l'armée

J'avais toujours décidé de ne pas faire mon service militaire, estimant que c'était une perte de temps énorme à un âge où l'on a tant de choses excitantes à découvrir. De plus la chose militaire m'étant particulièrement odieuse, je cherchais par tous les moyens à me faire réformer. On me recommanda l'adresse d'une doctoresse qui faisait des dossiers médicaux sur mesure. Cette femme - assez incroyable- réunissait pendant une heure une huitaine de gars dans mon cas et leur constituait un dossier : chacun son tour nous déballions nos tares tant physiques que mentales.

-" et, toi qu'est ce que tu as ? me demanda-t-elle. N'étant pas plus malade que les autres, je cherchais vainement à lui répondre. Tout le monde me regardait avec insistance et je finis par lâcher :

-" je pisse au lit !" -" très bien " me répondit-elle avec satisfaction. A la fin de la séance, elle remettait à chaque patient une enveloppe cachetée qu'elle accompagnait de recommandations très précises. En me tendant mon enveloppe elle me dit de remettre l'enveloppe au médecin militaire après avoir suivi scrupuleusement ses conseils.

Bien sûr, je n'ai jamais été énurétique, mais je savais que cela pouvait être un motif de réforme, et de plus je mettais quelquefois des serviettes de toilettes emballées de toile plastique transparente pour dormir. C'est un plaisir que j'ai toujours tenu secret, car je pensais alors être le seul à jouir dans une couche mouillée. Et aujourd'hui je l'avais dit tout haut devant 10 personnes ! Ce courage m'étonna, mais mon but principal restait la réforme et je devais tout tenter pour y arriver

Deux jours plus tard, je pris le train pour Laval où je devais intégrer mon régiment. J'avais peu dormi depuis le jour où la doctoresse m'avait expliqué la conduite que je devais tenir d"s mon arrivée à la caserne : se mêlaient la peur de ne pas réussir à échapper à l'armée, mais aussi celle de jouer un énurétique devant tous les autres, et de le faire croire aux médecins ! très déterminé, je rentrais dans la caserne avec Libé sous le bras (par provoc mais aussi parce que c'était le canard que je lisais à l'époque) ; on me le retira aussitôt, en me disant qu'ici on ne lisait pas ce genre de saloperie (sic), ce qui raffermit davantage ma détermination.

J'étais arrivé en fin de journée, et l'on me conduit tout de suite au réfectoire puis au dortoir : nous étions 15 à faire nos lits. Tout le monde se déshabilla, -une bonne moitié dont moi- mettait leur pyjama dans le silence, et les lumières furent éteintes assez rapidement. A ce moment commençait la première étape du plan de mon médecin : je devais prétendre me réveiller vers 4 ou 5 heures du matin le lit mouillé. N'ayant pas trouvé la petite montre-réveil qui devait me tirer du sommeil, je décidais de ne pas dormir : les heures passaient trop lentement & j'angoissais à mort sur la suite du scénario. En plus je n'avais jamais pissé au lit sans couche !

Vers 4h25, je décidais de passer à l'action. Putain j'arrivais pas à pisser !

Je me forçais un max, mais j'étais coincé ! Je me concentrais, essayant de me détendre mais rien à faire ! Autour de moi les autres mecs ronflaient. Je me redressais timidement dans mon lit & poussait fortement quand je sentis l'urine monter dans ma verge. Je me recouchais horizontalement et immédiatement la chaleur soulageante de l'urine baigna mon bas-ventre. Il était convenu que je ne devais pas complètement inonder mon lit et j'avais du mal à arrêter le jet puissant.

Je transpirais, le cul mouillé ainsi que le bas de ma veste de pyjama et une bonne partie du lit (trop peut-être). Maintenant la suite du scénar' consistait à me lever, sortir du dortoir et à m'asseoir par terre dans le couloir jusqu'au moment où un gradé me rep"re, ce que je fis. J'étais prostré sur moi-même, et au travers du pyjama humide je sentais le carrelage glacé. Au bout d'un moment un officier me trouva et me demanda ce que je faisais là. -"J'ai eu un accident" lui répondis-je avec une honte non feinte. Il me dit le suivre et en me levant je vis ses yeux regarder la tache d'humidité que j'avais laissée sur le carrelage. Je n'osais affronter son regard, mais je compris qu'il regarda ensuite mon pyjama, puis il m'ordonna d'aller prendre une douche, de me changer et de me recoucher. En me dirigeant vers la salle de douche, il me demanda froidement : "c'est quoi ton nom ?" J'avais gagné la première étape du plan : me faire repérer !

La matinée arriva vite et quand la chambrée s'éveilla, j'étais déjà habillé et j'avais recouvert mon lit. Personne ne se rendit compte de mon exploit. J'étais passablement hagard de fatigue quand on emmena tout le monde à l'infirmerie pour passer toute une série de tests médicaux. Il y avait là une cinquantaine de gaillards en slip qui faisait la queue pour l'analyse d'urine, puis la pesée, prise de sang etc... Cela se terminait par un entretien avec le médecin militaire. Quand j'entrai dans son cabinet, il me fit asseoir tranquillement et me demanda si j'avais quelque chose à déclarer sur mes antécédents médicaux. Je lui répondis que non, mais que mon médecin de famille m'avait remis une lettre qui lui était destinée.

Il décacheta l'enveloppe, lut attentivement la missive puis la glissa dans un dossier en me demandant : -"Tu veux te faire réformer ?"

Je fis l'étonné et lui répondis en hésitant par la négative. C'était un appelé comme moi et il était plutôt sympa, mais je craignais qu'en lui révélant ma véritable intention je sois incorporé d'office ; je préférais poursuivre le plan de la doctoresse.

-" Je vois que tu es énurétique ; cela t'arrive souvent ?" -" Non".

-" Tu as mouillé ton lit cette nuit ; tu aurais pu mettre une couche ! Tu en avais emporté au moins ?

-" Non".

-" OK ; écoute tu vas rester à l'infirmerie aujourd'hui, et ce soir je t'envoie à l'hôpital militaire de Rennes pour une consultation".

On me conduisit dans une chambre où logeait déjà un bras cassé qui fumait des pétards ! J'aurais bien voulu sympathiser avec lui, mais je continuais à jouer mon rôle de timoré & il me lâcha assez rapidement la grappe. Au moment du déjeuner on nous apporta nos plateaux-repas. En déposant le mien sur une tablette, l'infirmier glissa un change complet sur mon lit sans rien dire et partit.

-" Ah je vois me fit mon voisin - tu pisses au lit pour te faire réformer !

T'es comme moi : tu veux te tirer d'ici presto ! D'accord je te laisse cool, je vais aller voir les copains d'à côté".

Je décidais de faire une sieste pour récupérer ma nuit. Je retirais le change que je n'avais pas l'intention d'utiliser, m'allongeais sur le lit et tentais de trouver le sommeil ; milles questions m'assaillirent : n'avais-je pas trop inondé le lit ? Aurais-je du dire au toubib que je voulais me faire réformer ? Qui allais-je consulter ?

Vers 17 h un fourgon militaire avec une grande croix rouge m'emmena à Rennes.

L'hôpital militaire était un complexe assez vaste et l'on accompagna vers un grand bâtiment en briques de 6 étages avec une ample cage d'escalier et un ascenseur au centre. A mesure que la cabine gravissait les étages, je distinguais des deux côtés de l'escalier de longs couloirs seulement fermés par une double porte vitrée. Au-dessus de chacune d'entre elles était nommée la spécialité du service.

Passé le 5ème étage il m'avait semblé avoir vu toutes les sciences enseignées à la fac de médecine, pourtant l'ascenseur continua jusqu'au 6ième et dernier étage. Ici pas d'inscription ni de porte vitrée, mais une porte blindée muni d'un ?illeton à laquelle le militaire qui m'accompagnait sonna. Après un certain temps le bruit d'une épaisse serrure ouvrit la porte sur deux infirmiers en blouse blanche. Ils m'invitèrent à pénétrer dans un long couloir qui desservait de nombreuses pièces toutes méchamment fermées par de lourdes portes ; ils étaient souriants et avaient l'air " cool " ; l'un était un grand brun assez solide avec des cheveux très courts et une moustache. Le deuxième était plus petit mais cependant bien trapu. Ils portaient tous les deux des jeans & des baskets sous leur blouse. Ils me prirent mon sac de voyage en m'indiquant que je n'avais plus besoin de vêtements civils.

-" Tu n'as besoin de rien dans ton sac ? Une trousse de toilette ? " -" Oui en effet j'en ai besoin ! ".

-" On va la garder avec nous car ici il y des vols, tu sais c'est plus sûr ; mais d"s que tu la veux n'hésites pas à nous la demander. Tu vas voir tout va bien se passer. Bon maintenant tu vas prendre une douche et te mettre en pyjama ; je vais t'en chercher un. Après on t'apportera à dîner ".

Le petit trapu me désigna un banc dans un renfoncement au bout du couloir :

" Tiens déshabille-toi, la douche est en face et les toilettes à côté ; il y a une serviette pour toi dans la cabine. " Puis il ferma un vague rideau et je commençais à me dévêtir, mais je voyais ses pieds derrière le rideau :

" Grouille toi s'il te plait, y'en à 2 autres qui attendent la douche. "

Tout allait très vite, je n'avais pas le temps de penser à ce qui m'arrivait & je m'exécutais docilement. Je sortis de la cabine, une serviette autour des hanches, et je me dirigeais vers la douche.

-" Passes aux toilettes d'abord, je t'attends. " me dit l'infirmier. Pendant la douche j'entendis le grand brun revenir avec mon pyjama, car il ouvrit rapidement le rideau de douche pour voir si j'avais fini. " Je te pose tes affaires dans la cabine, tu t'habilles et je t'emm"ne dans ta chambre. "

Je me rinçais rapidement, puis repassais pudiquement la serviette mouillée autour de moi pour regagner la cabine d'habillage. Sous le banc était déposée une paire de vieux chaussons. Dessus, soigneusement pliés, un pyjama bleu ciel, une robe de chambre élimée, un change complet et une culotte en plastique !

Une bouffée de chaleur me monta à la tête : j'étais ébahis & honteux ; j'avais oublié pourquoi j'étais là et pourtant s'était clair et ils le savaient très bien. Un des deux infirmiers referma le rideau derrière moi & m'invita à me presser davantage. Je ne savais pas par où commencer ; je n'avais jamais mis de change complet debout ! J'ai failli chialer, leur dire que tout était du bleuf, de tout arrêter. Puis machinalement je finis par m'adosser contre le mur. Je dépliais le change, le glissais entre mes jambes. L'autre était toujours derrière le rideau. Avec beaucoup de maladresse je fixais les adhésifs ; en retirant les bandes protectrices je vis les pieds de l'infirmier s'éloigner : le boucan des bandes adhésives l'avait momentanément apaisé. Le change était mal fermé, de travers. Tant pis ! Je pris la culotte en plastique, la dépliait : le plastique de l'entre jambe était tout dur ! Elle avait dû servir à des dizaines de jeunes troufions pisseux ! Je décidais de ne pas la mettre ; après-tout le change suffisait bien ! J'enfilais mon pyjama (neuf semblait-il), les chaussons, puis refermais bien la robe de chambre sur moi et ouvris le rideau. J'avais négligemment laissé la culotte plastique sous la serviette humide. L'infirmier (le petit) arriva, et me fit un large sourire en constatant que j'étais enfin prêt.

-" Viens, je t'emmène à ta chambre " et il me conduisit devant une porte du couloir. Elle s'ouvrait sur une chambre assez banale, avec 2 lits de chaque coté, un lavabo une table avec 2 chaises devant une fenêtre. Une impression bizarre cependant. Dans un lit un mec dormait le visage tourné vers le mur.

L'infirmier me désigna l'autre lit et me dit que je pouvais me coucher, mais qu'on allait m'apporter sous peu un repas. Je m'assis sur le lit et il partit. A peine la porte fermée, l'autre malade se retourna pour me regarder. Il voulut me parler mais la porte se rouvrit brusquement : c'était l'infirmier moustachu, l'air pas très content et le bras tendu vers moi. Au bout de son bras la culotte en plastique :

" T'as pas oublié de mettre ça ? ". Je ne trouvais pas de réponse. " Debout et retire ton pantalon " ordonna-t-il impérieusement. L'autre infirmier arriva et assista à la scène ; ils étaient trois à présent à me dévisager.

-" Elle trop petite " dis-je les yeux baissés sur le pyjama qui laissait apparaître le change complet.

-" Ah mais il fallait le dire " me répondit-il avec un sourire malicieux ; " On en a des plus grande tu sais. On a tout pour t'aider il suffit de le demander ! Julien tu peux aller chercher la taille d'au-dessus pour monsieur " demanda-t-il à son collègue. Une deuxième fois je faillis craquer ; j'étais rouge de honte, debout en change complet devant deux hommes, les yeux rivés sur mes chaussons.

-" T'as pas envie d'aller pisser pendant qu'on y est ? " J'agitais négativement la tête. Julien revint vite et me donna une autre culotte plastique qui paraissait neuve. Personne ne dit rien ; 3 paires d'yeux attendaient que je l'enfile gentiment. Le plastique était souple et dégageait une odeur familière de lanoline Pendant que je m'ajustais on apporta un plateau repas. Je dis que je n'avais pas fin.

-" Comme tu veux, mais tu prends ton médicament " me dit le moustachu en me tendant un verre d'eau qui était préparé sur le plateau.

-" Bien messieurs, bonne nuit ! Extinction des feux dans 10 minutes ", et ils partirent en refermant la porte à clef.

Mon voisin se retourna pour dormir et j'ouvris le lit pour m'y glisser. Je regardais cette chambre, décidément bizarre. J'avais très faim ; si j'avais refusé le plateau repas, c'était pour écourter cette scène pénible & humiliante, tous ces regards. Je fixais la fenêtre : elle comportait des barreaux ! Le lavabo était une vasque encastrée dans un meuble aux formes arrondies, les chaises & la table étaient en plastique et les murs : recouverts de molleton !

J'étais chez les fous ! Je revoyais le film " Vol au-dessus d'un nid de coucous " : l'horreur. J'en avais trop fait. Et mon voisin avait l'air franchement pas normal. Tout d'un coup les lumières s'éteignirent. Je rentrais dans le lit en me persuadant de dormir pour oublier tout cela. Dormir oui...

Je fus réveillé dans la nuit : la clef tourna doucement dans la porte et quelqu'un rentra dans l'obscurité. J'étais à demi conscient. Un faisceau de lampe torche me passa près du visage. Je fermais les yeux ; l'infirmier repartit en refermant la serrure. J'avais une timide envie de pisser. Le lit était chaud : c'était l'alèse qui me renvoyait la chaleur de mon corps. Je sentais une odeur douce de lanoline : ah oui c'était ma culotte plastique ; j'avais un change aussi. Cela tombe bien car un petit jet d'urine chaude s'épandait autour de mon sexe, calfeutré dans l'épaisseur moite de la couche. Dormir.

Julien

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